Un Master pour un public mixte

La mixité du public est vécue par les étudiants comme une richesse.

Des étudiants avec des expériences professionnelles variées

Une partie des étudiants sont des travailleurs avec un bagage professionnel parfois conséquent. Ils viennent prendre du recul dans leur trajectoire professionnelle, élargir leur analyse à partir de leur investissement professionnel,  s’outiller davantage pour des fonctions à responsabilités qu’ils remplissent déjà ou qu’ils souhaitent occuper.

Nous réfléchissons avec eux à comment concilier et articuler vie professionnelle et reprise d’études.

L’autre part du public est constitué de jeunes sortants des différentes formations d’accès. Le diplôme déjà acquis étant principalement professionnalisant, nous les encourageons dès le début et aux différentes étapes du cursus à s’engager dans la vie professionnelle.  Nous faisons l’hypothèse que ceux-ci disposeront d’une formation, à parfaire bien sûr avec de l’expérience, qui pourra leur être utile dans leurs premiers engagements professionnels et qui pourra, à terme, leur permettre d’accéder à d’autres types de fonctions.

« L’un des principaux atouts du MIAS réside dans la diversité des intervenants et la richesse qui découle du croisement de leurs prismes. Cela m’a permis d’acquérir des compétences d’analyse, de planification et de vision stratégique afin d’agir concrètement sur mon environnement. »

Un diplômé du MIAS

Des étudiants de formations différentes

Bacheliers assistants sociaux, éducateurs, infirmiers en santé communautaire, en communication… qui appartiennent à des mondes professionnels souvent cloisonnés ont l’occasion ici de se former ensemble.

Des étudiants qui ont accès par la  Valorisation des Acquis de l’Expérience (VAE)

Ils ne sont pas détenteurs d’une des 15 formations d’accès au Master en Ingénierie et action sociales mais ils peuvent faire valoir une formation, de l’expérience professionnelle ou personnelle reconnue équivalente aux compétences acquises au terme de ces formations d’accès.